La base sous-marine de Saint-Nazaire

Construite pendant la guerre par les Allemands pour leur flotille de sous-marins, cette base indestructible fut longtemps considérée comme une affreuse verrue et laissée à l'abandon. La ville racheta les terrains, propriété de la Marine et décida d'en faire un grand pôle touristique. C'était en 2000.

 

 

Suivez-moi, nous allons pénétrer à l'intérieur du blockhaus :

 

 

 

 

 

 

Vous avez envie de découvrir la vie à bord des paquebots de croisière d'antan ? Il vous suffit de prendre votre billet pour « l'Escal'atlantic » et vous partez pour un voyage vers l'Extrême-Orient. Empruntez la passerelle, on vous attend à bord. L'étonnement et le ravissement sont à votre portée !

 

 

Après cette visite qui dure presque deux heures, je suis montée sur le toit de la base.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

De là-haut, on a une très belle vue sur le port et le pont qui enjambe la Loire un peu plus au sud.

 

 

 

 

J'ai ensuite visité l'intérieur du sous-marin français, « l'Espadon », qui est situé de l'autre côté du chenal. Avant de partir, je me suis arrêtée sur les chantiers navals pour prendre en photo le paquebot MSC Poésia. Mais ce sera le sujet d'une prochaine note !

La plage de La Baule

Qualifiée de plus belle plage d'Europe, la plage de La Baule s'étire sur environ neuf kilomètres de sable fin. Elle est délimitée au nord par Le Pouliguen et, au sud, par Pornichet. Difficile de la photographier dans son ensemble donc !

 

 

 

 

 

En cette belle journée de septembre, il y a encore un peu de monde à profiter des joies de la mer. La marée est basse et les pêcheurs de coque sont nombreux. D'autres préfèrent se prélasser avant d'aller déjeuner, peut-être, dans ce restaurant installé tout près.

 

 

 

 

 

La Baule est une station balnéaire chic où les immeubles modernes ont peu à peu remplacé les vieilles demeures. Heureusement qu'il reste toujours les hôtels qui ont fait la réputation de La Baule : l'Hermitage, le Royal, le Majestic ou encore le castel Marie-Louise.

 

 

 

 

 

Un dernier regard vers la mer et ses voiliers. Demain je vous emmène à Saint-Nazaire.

 

Le Croisic

Après Piriac, nous voici aujourd'hui un peu plus au sud, au Croisic, à la fois port de pêche et de plaisance.

 

 

 

 

 

L'ancienne poissonnerie que vous voyez en dessous est actuellement en pleine rénovation.

 

 

 

A l'arrière du port, les vieilles maisons du XVIème ont bénéficié d'une restauration.

 

 

 

 

Au revoir la belle Croisicaise. Avant d'atteindre La Baule, offrons-nous un tour sur la côte sauvage.

 

 

A suivre ...

Piriac-sur-mer

Lever du soleil sur le port

 

 

Tout est calme quand j'arrive sur le port. Il est 7h du matin. On n'entend que le cliquetis des mâts s'entrechoquant et le cri des mouettes dans le ciel rougeoyant. Peu à peu le ciel rosit et le port s'anime avec l'arrivée de pêcheurs.

 

 

 

 

Petite promenade dans les rues proches du port :

 

 

 

 

 

Retour vers le port, le temps de jeter un dernier regard aux voiliers et aux mouettes :

 

 

 

 

 

La prochaine étape sera Le Croisic.

Saint-Rémy sur Creuse

La vallée de la Creuse

 

 

Aujourd'hui je vous emmène sur les bords de la Creuse, dans un village situé à quelques centaines de mètres du cours d'eau, dans le département de la Vienne : Saint-Rémy sur Creuse.

 

 

Le village est surtout connu pour son bel ensemble de maisons troglodytiques construites au Moyen Age au moment où le roi Richard Cœur de Lion fit bâtir une forteresse sur le côteau, face à la Touraine. Les paysans avaient alors conçu un système défensif contre les attaques en creusant des cachettes dans le tuffeau du côteau. Ils pouvaient ainsi se mettre à l'abri et même tenir un siège. On accède au site par un chemin pentu.

 

Certaines de ces maisons sont devenues des lieux de villégiature, d'autres sont encore un peu à l'abandon, mais toutes ont un propriétaire.

 

 

 

 

 

 

Après le rattachement de cette région au royaume de France, les paysans quittèrent le village pour retourner dans leur contrée d'origine ( la plupart venait de Châtellerault). Puis à partir du XVII et XVIIIe siècles, avec le développement de la culture du chanvre, une nouvelle population vint s'installer dans les maisons. Il s'agissait de tisserands avec leur famille. Ils s'entassaient à huit ou dix dans l'unique pièce de la demeure. Chaque maison possédait sa cheminée indispensable pour la cuisson des aliments et le chauffage. L'eau provenait du côteau et était recueillie dans des vasques creusées dans la pierre devant les maisonnettes.

 

 

Le site se visite tous les jours. Des archéologues ont été chargés de veiller à la préservation et la sécurité du lieu.